Monotone - Monotone
03:34 автор nmarenew 25 December 2007 17:54 148 179 просмотров
текст трека
Paroles et Musique: Jean Villard-Gilles 1945
autres interprètes: Les Classels, Tina Arena
note: Les Compagnons de la Chanson avec Edith Piaf Village au fond de la vallée,
comme égaré, presqu'ignoré.
Voici qu'en la nuit étoilée
Un nouveau-né nous est donné.
Jean-Franois Nicot il se nomme.
Il est joufflu, tendre et ros.
A l'glise, beau petit homme,
demain tu seras baptis. Une cloche sonne, sonne.
Sa voix, d'cho en cho,
dit au monde qui s'tonne:
"C'est pour Jean-Franois Nicot.
C'est pour accueillir une me,
une fleur qui s'ouvre au jour,
peine, peine une flamme
encore faible qui rclame
protection, tendresse, amour." Village au fond de la valle,
loin des chemins, loin des humains.
Voici qu'aprs dix-neuf annes,
cur en moi, le Jean-Franois
prend pour femme la douce Elise,
blanche comme fleur de pommier.
Devant Dieu, dans la vieille glise,
ce jour, ils se sont maris. Toutes les cloches sonnent, sonnent,
Leurs voix, d'cho en cho,
merveilleusement couronnent
la noce Franois Nicot.
"Un seul cur, une seule me",
dit le prtre, "et, pour toujours,
soyez une pure flamme
qui s'lve et qui proclame
la grandeur de votre amour." Village au fond de la valle.
Des jours, des nuits, le temps a fui.
Voici qu'en la nuit toile,
un cur s'endort, Franois est mort,
car toute chair est comme l'herbe,
elle est comme la fleur des champs.
Epis, fruits mrs, bouquets et gerbes,
hlas! vont en se desschant... Une cloche sonne, sonne,
elle chante dans le vent.
Obsdante et monotone,
elle redit aux vivants:
"Ne tremblez pas, curs fidles,
Dieu vous fera signe un jour.
Vous trouverez sous son aile
avec la vie ternelle
l'ternit de l'amour."
autres interprètes: Les Classels, Tina Arena
note: Les Compagnons de la Chanson avec Edith Piaf Village au fond de la vallée,
comme égaré, presqu'ignoré.
Voici qu'en la nuit étoilée
Un nouveau-né nous est donné.
Jean-Franois Nicot il se nomme.
Il est joufflu, tendre et ros.
A l'glise, beau petit homme,
demain tu seras baptis. Une cloche sonne, sonne.
Sa voix, d'cho en cho,
dit au monde qui s'tonne:
"C'est pour Jean-Franois Nicot.
C'est pour accueillir une me,
une fleur qui s'ouvre au jour,
peine, peine une flamme
encore faible qui rclame
protection, tendresse, amour." Village au fond de la valle,
loin des chemins, loin des humains.
Voici qu'aprs dix-neuf annes,
cur en moi, le Jean-Franois
prend pour femme la douce Elise,
blanche comme fleur de pommier.
Devant Dieu, dans la vieille glise,
ce jour, ils se sont maris. Toutes les cloches sonnent, sonnent,
Leurs voix, d'cho en cho,
merveilleusement couronnent
la noce Franois Nicot.
"Un seul cur, une seule me",
dit le prtre, "et, pour toujours,
soyez une pure flamme
qui s'lve et qui proclame
la grandeur de votre amour." Village au fond de la valle.
Des jours, des nuits, le temps a fui.
Voici qu'en la nuit toile,
un cur s'endort, Franois est mort,
car toute chair est comme l'herbe,
elle est comme la fleur des champs.
Epis, fruits mrs, bouquets et gerbes,
hlas! vont en se desschant... Une cloche sonne, sonne,
elle chante dans le vent.
Obsdante et monotone,
elle redit aux vivants:
"Ne tremblez pas, curs fidles,
Dieu vous fera signe un jour.
Vous trouverez sous son aile
avec la vie ternelle
l'ternit de l'amour."
источник — www.metrolyrics.com